Après une intervention chirurgicale majeure, la plupart des patients subissent un changement prononcé au niveau de leur organisme et leur qualité de sommeil. Diverses méthodes ont été ainsi proposées pour réduire efficacement une douleur postopératoire.
On distingue notamment l’injection d’un analgésique local ou d’un anesthésiant intraveineuse contrôlée par le patient. La prise de cachet à effet analgésique constitue également un moyen de soulager la douleur postopératoire lors des heures de sommeil. Le point autour des douleurs postopératoires, ainsi que les solutions permettant de les atténuer.

L’origine d’une douleur postopératoire ressentie par le corps
Avant tout, il faut savoir que le soulagement de la douleur postopératoire peut être obtenu grâce à la prise d’un cachet pour dormir. Cette douleur se caractérise par une augmentation anticipée et temporaire d’une souffrance de fond. Elle survient notamment de 2 à 5 jours après une ablation d’organes ou des procédures de greffe, en plus de la réponse inflammatoire à la chirurgie.
Le plus souvent, la douleur accrue est causée par des plaies nouvellement créées, comme celles de l’excision d’une masse mammaire ou de la réparation d’une hernie. Elle fait ainsi référence à la survenue de douleurs sur les articulations et les muscles, la tête ou les membres du corps… Les douleurs s’accompagnent souvent d’agitation, d’insomnie, de transpiration ou de manque de transpiration, de fatigue, de manque d’appétit, voire d’un dysfonctionnement des membres.
Les effets d’une opération chirurgicale sur le sommeil
Il apparaît aujourd’hui que la quantité de sommeil profond et de sommeil paradoxal est nettement réduite, immédiatement après la chirurgie. Le sommeil en période postopératoire est fréquemment affecté par de nombreux facteurs, aussi bien interne qu’externe à l’organisme. De plus, la douleur postopératoire a un impact négatif majeur sur l’équilibre sanitaire de l’individu.
Il a par ailleurs été démontré qu’un état d’éveil prolongé, avant même toute intervention chirurgicale, améliore considérablement les comportements de douleur postopératoire. Pour de nombreux patients, il existe une raison fréquemment invoquée pour se réveiller la nuit après la chirurgie. C’est notamment le tracas du changement de position de la partie du corps nouvellement opérée.
Manque de sommeil et douleurs postopératoires
Le sommeil peut aider à minimiser l’effet de l’insomnie, tout en réduisant la gravité de la douleur ressentie après l’opération. Des troubles du sommeil ainsi que des douleurs, de niveau modéré à sévère, se manifestent généralement au début de la période postopératoire. Cette douleur, qui se manifeste en particulier la nuit, perturbe ainsi le sommeil de la personne. Ceci peut entraîner un cercle vicieux de douleur aiguë, d’anxiété et de privation supplémentaire de repos et de récupération.
De même, un sommeil insuffisant augmente le risque de plusieurs problèmes de santé chroniques. La perte de sommeil, associée à une douleur consécutive à toute opération chirurgicale, est d’autant plus néfaste pour le patient.
Elle influe sur la manière dont le corps peut efficacement recouvrer sa santé et récupérer ses capacités physiques normales. Le sommeil et la douleur sont ainsi réciproquement liés. Autrement dit, un sommeil insuffisant peut aggraver la perception de la douleur chez un individu.
Les différents soins pour traiter les douleurs postopératoires
Un contrôle inadéquat de la douleur postopératoire peut entraîner une mauvaise récupération, un dysfonctionnement, ou une qualité de vie médiocre. Ceci peut également augmenter le risque de douleurs, voire de complications post-chirurgicales persistantes. Divers traitements sont en principe utilisés pour accompagner une douleur postopératoire, afin que les patients restent fonctionnels jusqu’à ce que la plaie guérisse complètement.
Il s’agit notamment de la prise de cachet pour dormir à effets anti-inflammatoires, ou encore des anesthésiques locaux. Des alternatives non médicamenteuses peuvent aussi être utilisées à la place de ces traitements. Il s’agit notamment des coussins chauffants, des blocs réfrigérants ou des techniques de relaxation qui aident à soulager la douleur ou l’enflure.
L’objectif est souvent de promouvoir une mobilisation post-chirurgicale précoce du corps, ou d’éviter des coûts relatifs au traitement des complications.