Le cancer des ovaires figure parmi les maladies les plus redoutées par les femmes. Effectivement, le taux de survie est nettement inférieur à celui du cancer du sein. Néanmoins, les avancées réalisées dans le domaine de la recherche ont permis de déceler avec plus de facilité les tumeurs ovariennes. Parallèlement, on assiste à l’apparition de différents traitements complémentaires offrant de meilleures chances de rémission aux patientes.
Comment évolue le cancer des ovaires ?
Cette maladie ne manifeste aucun signe particulier à un stade précoce. Les souffrantes ne se sentiront pas amoindries et pourront vaquer à leurs occupations. Les premiers symptômes apparaitront quand la tumeur aura atteint une certaine taille et que le cancer entre en phase 2. Dans cette situation, on constatera l’apparition d’un gonflement du ventre. La personne concernée peut déjà perdre de l’appétit et avoir des malaises. Néanmoins, la plupart des femmes consultent généralement un médecin lorsque leur cycle menstruel commence à être perturbé. Si certaines d’entre elles sont victimes d’une longue aménorrhée, d’autres sont touchées par des saignements en dehors des règles. Le gynécologue va alors recommander différents examens pour essayer d’expliquer ces symptômes. L’échographie permettra déjà de déceler la présence d’une grosseur suspecte au niveau des ovaires. Néanmoins, les spécialistes procéderont également à une biopsie pour confirmer s’il s’agit bien d’une tumeur.
Si la souffrante n’est pas prise en charge médicalement à ce stade, la maladie évoluera encore jusqu’à l’empêcher de suivre sa routine quotidienne. Le cancer atteindra les ganglions lymphatiques avant de se propager aux organes environnants. Concrètement, il faut s’attendre à des dérèglements hormonaux pouvant entraîner une migraine persistante, une forte émotivité et des troubles divers. Peu à peu la personne s’affaiblira jusqu’à ce qu’elle décède. Bien entendu, une rémission n’est pas impossible du moment que l’on reçoit un traitement adapté.
Ce qu’il faut savoir sur le traitement du cancer des ovaires
Comme pour n’importe quel autre cancer, le traitement s’appuiera principalement sur la chimiothérapie qui est destinée à éradiquer les cellules cancéreuses. Les spécialistes recommanderont la réalisation d’une intervention chirurgicale si la tumeur dépasse déjà une certaine taille ou si les médicaments prescrits ne font pas effet. Le plan de traitement peut aussi prévoir des séances de radiothérapies. Dans tous les cas, tout dépendra de l’efficacité des agents chimiothérapeutiques administrés. Cependant, leur prise s’accompagne de nombreux effets secondaires. D’ailleurs, ces substances cytotoxiques affectent également les cellules saines. Elles peuvent diminuer les facultés immunitaires de la patiente en réduisant peu à peu le nombre de globules blancs présents dans le sang. Cette situation obligera parfois le corps soignant à interrompre le traitement. Toutefois, cette interruption ne sera pas forcement bénéfique.
Pour éviter ce cas de figure, un nombre croissant de souffrantes se tournent vers la phytothérapie. Les produits phytothérapiques procurent davantage de bien-être aux malades. Cependant, ceux formulés par Mirko Beljanski connaissent une notoriété grandissante. Ces fameux extraits naturels jouissent d’une excellente réputation à cause de leur capacité à préserver le système immunitaire. Ils constitueraient de parfaites alternatives pour rester en bonne santé. Ce type d’anticancéreux naturel possède aussi des vertus insoupçonnées. Des études révèlent par exemple que les extraits de pao pereira agissent comme un puissant antiviral. Ils donnent ainsi les moyens de limiter la propagation des virus. Ce qui est particulièrement intéressant pour garder une bonne santé pendant cette épidémie de coronavirus.